Enquêtes réalisées par le Réseau en 2020
Contexte : Afin de répondre à un souhait d’amélioration globale de la prise en charge des patients et dans un objectif de diminuer la morbi-mortalité des soins, la simulation en santé s’est développée initialement en centre de simulation. Depuis quelques années s’est développé l’objectif de diffuser les formations directement dans les établissements, c’est-à-dire in situ. Le Réseau de périnatalité est précurseur dans les modalités.
Objectif : Evaluer l’impact de la formation par la simulation in situ en obstétrique sur les équipes travaillant en maternité et envisager des perspectives afin de pérenniser cette formation.
Méthodes : A l’issue de chacune des sessions de simulation in situ dispensées par les formateurs du Réseau Sécurité Naissance, un questionnaire de satisfaction a été distribué à tous les participants. Ainsi pour chaque maternité, les 3 sessions étaient évaluées par un questionnaire de satisfaction : réanimation néonatale, urgences vitales en hospitalisation et simulation en salle de naissance. Tous les professionnels ayant participé de façon active à ces sessions étaient invités à répondre à un questionnaire de satisfaction de type échelle de Likert à 5 points. Puis chaque maternité recevait dans un second temps, au moins 6 mois après, un questionnaire commun ainsi qu’un deuxième questionnaire spécifique à son établissement, portant sur les axes d’amélioration qui avaient été proposés par l’équipe de formateurs.
Conclusion : L’enthousiasme des professionnels de santé concernant la simulation in situ est démontré. Par ailleurs, on retrouve une amélioration globale de la communication et de la cohésion d’équipe à moyen terme (évaluation à plus de 6 mois). L’intérêt de poursuivre ces sessions de formation semble indéniable aussi bien dans les petites maternités que dans les plus gros établissements.
Enquêtes réalisées par le Réseau en 2019
Enquête « Vécu de l’accouchement »
Objectif principal :
Evaluer les perceptions positives et négatives des femmes ayant accouché dans l’une des 23 maternités du Réseau Sécurité Naissance des Pays de Loire concernant le vécu de leur accouchement.
Objectifs secondaires :
- Identifier les femmes ayant une perception négative de leur accouchement.
- Identifier les facteurs de risque de perception négative de l’accouchement.
- Identifier et prioriser les actions pouvant être menées pour améliorer la prise en charge des patientes.
Améliorer la compréhension de la sécurité émotionnelle des patientes
Objectifs :
La commission obstétricale propose, à l’ensemble des maternités des Pays de Loire, la réalisation d’une évaluation des pratiques professionnelles sur les grossesses prolongées et leur prise en charge.
L’objectif principal est d’évaluer les pratiques de prise en charge des grossesses prolongées (adéquation aux RPC « grossesses prolongées » CNGOF 2011).
Les critères d’inclusion sont les femmes enceintes ayant accouché, dans une des maternités de la région Pays de Loire, avec un terme supérieur ou égal à 41SA + 0j. Tous les modes et types d’accouchements (voie basse et césarienne), quelle que soit la parité et quel que soit l’état de l’enfant (vivant ou mort-né) seront inclus.
Notice information individuelle Grossesses Prolongées
Objectif : évaluer le vécu, et en conséquence la satisfaction des femmes durant cette période de grossesse prolongée, et secondairement connaître les
éléments qui y ont participé.
Méthodes : Il s’agit d’une étude monocentrique descriptive prospective ayant inclus 103 patientes entre juillet et octobre 2019. L’étude s’est basée sur la distribution de deux questionnaires anonymes à deux temps différents de la prise en charge : le premier était distribué à l’issue de la consultation de terme, et le second durant les suites de naissance.
Résultats : Le vécu de la période de grossesse prolongée est plutôt bien vécu par la majorité des patientes. Le vécu de la consultation du terme et du suivi semble influencer de façon importante le vécu des derniers jours : ils sont estimés comme « bon » voire « très bon » par les patientes respectivement à 92 % et 94 %. Les éléments ressortant de ce suivi comme influençant de façon importante le vécu de la grossesse prolongée concernent l’information donnée sur le suivi, le sentiment de concertation avec les professionnels et le sentiment d’écoute perdurant le long de la prise en charge qui sont évalués comme « bon » voire « très bon » respectivement à 84 % (p= 0,03), 77 % (p=0,05) et 90 %. Le mode de « mise en travail » des patientes influence aussi le vécu de la grossesse prolongée (p=0,04).
Conclusion : La période de grossesse prolongée semble plutôt bien vécue pour la majorité des patientes, même si elle semble l’être de moins en moins bien quand la grossesse se prolonge. Elle est influencée par de nombreux facteurs et en particulier dès le début du suivi organisé pour la surveillance de la grossesse prolongée. Le mode de « mise en travail » des patientes impacte aussi le vécu des derniers jours et notamment dans le cas du déclenchement.
Enquêtes réalisées par le Réseau en 2018
Cette enquête a deux objectifs :
Réaliser et partager un état des lieux sur l’organisation des prises en charge des femmes enceintes en situation de grande vulnérabilité et précarité dans le réseau de périnatalité en 2017
Connaître les besoins éventuels de chaque maternité pour faciliter le parcours de soins de ces femmes
Les résultats peuvent être obtenus sur demande – contact : marion.olivier@reseau-naissance.fr
Objectif : Identifier les connaissances des professionnels de santé sur la plagiocéphalie positionnelle et les conseils qu’elles délivrent aux parents en prévention de la plagiocéphalie positionnelle. Ainsi que recueillir les connaissances des parents sur la plagiocéphalie positionnelle et leurs attitudes lors du retour à la maison.
Méthodes : Une étude épidémiologique descriptive auprès des professionnels de santé du réseau sécurité naissance des Pays de la Loire. Ainsi que deux autres études épidémiologiques descriptive parmi les parents ayant séjourné à la maternité du CHU de Nantes, de la clinique Jules Verne à Nantes (ou de la cité sanitaire à Saint-Nazaire pour la deuxième étude).
Résultats : Cette première étude a mis en évidence le manque de connaissance des professionnels de santé concernant la plagiocéphalie positionnelle. Encore nombreux sont les professionnels qui autorisent aux parents un couchage autre que sur le dos pour prévenir l’apparition de la plagiocéphalie positionnelle ou en cas de plagiocéphalie positionnelle diagnostiquée. La seconde étude a mis en évidence que la plagiocéphalie positionnelle est peu connue des parents. Mais les parents appliquent les conseils de positionnement afin de prévenir la plagiocéphalie. La grande majorité des parents appliquent les recommandations de prévention de la mort inattendue du nourrisson (MIN) à 2 mois même si nous avons observé que hausse du nombre de parents n’appliquant pas les conseils de prévention de la MIN lorsqu’ils sont inquiets par rapport à la PP.
Conclusion : Les professionnels de santé … Les parents sont demandeurs d’information écrite concernant la plagiocéphalie positionnelle. Une plaquette d’information pourrait servir de support pour aider à la diffusion de la prévention de la plagiocéphalie positionnelle.
Objectif : L’utilisation de la formation par la simulation en obstétrique est de plus en plus fréquente. Elle a depuis longtemps montré son intérêt dans la gestion des situations d’urgence. Cependant, son impact sur le sentiment d’estime personnelle n’a pas encore été évaluée. Or cela semble être un aspect important pour une bonne appréhension d’une urgence obstétricale comme la dystocie des épaules. Ceci nous a amené à l’évaluer au travers des professionnels de santé ayant bénéficié de la formation par simulation en obstétrique.
Méthode : Il s’agit d’une étude observationnelle descriptive réalisée à l’aide d’un formulaire web. Celui-ci était à destination des professionnels du Réseau Sécurité Naissance (Pays de la Loire) ayant bénéficié de la formation par simulation en obstétrique de sa création en 2014 à aujourd’hui : sages-femmes, gynécologues-obstétriciens, infirmiers anesthésistes, anesthésistes, aides-soignants et auxiliaires de puériculture.
Résultats : Cette étude met en évidence une amélioration du sentiment d’estime personnelle des professionnels après une formation par la simulation puisque 60 sur 65 répondants ont déclaré un impact bénéfique. Cette amélioration est retrouvée à tous les niveaux : estimation des compétences pratiques ou théoriques, gestion du stress, communication avec l’équipe et la patiente. Ce bénéfice est aussi retrouvé en pratique quotidienne puisque 20 professionnels ayant rencontré une dystocie des épaules depuis la formation ont déclaré une amélioration de leur prise en charge grâce à cette formation.
Conclusion : Au vu de ces résultats, il nous semble nécessaire de continuer à développer les formations par la simulation en France tant en formation initiale qu’en formation continue. Ces formations ont un réel intérêt pour l’estime personnelle des professionnels mais aussi pour l’amélioration, l’homogénéisation et la diffusion des bonnes pratiques en France.
– Sommeil partagé : Enquête sur les connaissances et pratiques des parents de Pays de la Loire (Laure DEMOULIN) Résultats : à venir
Objectif : existe-t-il une procédure d’appel du pédiatre en salle de naissance et/ou quels sont les motifs d’appel du pédiatre en anténatal en salle de naissance. Il s’agit d’un audit de pratique à l’échelle régionale, comprenant les 23 maternités du réseau
Résultats :
A l’échelle nationale, comme à l’échelle régionale au sein du Réseau Sécurité Naissance, il n’existe pas de procédure commune détaillant les motifs pour lesquels le pédiatre doit être appelé en salle de naissance : que ce soit pour un avis consultatif, un examen clinique dans les deux premières heures de vie du nouveau-né ou même pour une urgence. Cela peut entraîner des différences de pratiques entre les maternités et, au sein d’une même maternité, entre les professionnels de santé
Si une procédure commune était adoptée, comment la faire accepter par tous, et comment la diffuser pour que tous les acteurs concernés (SF, pédiatres…) se l’approprient ? L’intérêt de cette procédure étant qu’elle permette une aide pour les professionnels et ne soit pas vécue comme une contrainte.
Une procédure commune pourrait être envisageable mais serait à adapter au type de la maternité et à la présence du pédiatre sur place. Il serait alors intéressant de réévaluer les pratiques afin de savoir si cette procédure a permis une amélioration des pratiques et également de comparer la santé néonatale des nouveau-nés avant/après. Elle pourrait également permettre d’évaluer son influence sur le taux de transferts néonatals.
Objectifs : L’objectif principal de cette étude était de faire un état des lieux des connaissances des professionnels de maternité sur les pleurs physiologiques du nourrisson et le syndrome du bébé secoué.
Les questionnaires ont été adressés dans les maternités de Loire-Atlantique et de Vendée sur la période du 20 avril 2017 au 1er juillet 2017.
Résultats :164 réponses ont été obtenues soit un taux de participation de 26%. La distribution des professionnels répondants est la suivante :
- Sages-femmes 53% (n=87)
- Puéricultrices/IDE 20% (n=33)
- Auxiliaires de puériculture/Aides-soignantes (AP/AS) 19% (n=32)
- Médecins (dont pédiatres) 8% (n=12)
- 17% (n=28) des répondants travaillent dans une maternité de type 1
- 45%(n=74) dans un type 2 et 38% (n=62) dans un type 3.
Tous les professionnels déclarent connaitre le syndrome du bébé secoué : 62% déclarent bien le connaitre, 33% moyennement et 7% un peu. Il n’y a pas de grandes disparités entre les différentes professions (médecins, sages-femmes, puéricultrices et infirmières, auxiliaire de puériculture et aides-soignantes).
Principales caractéristiques du syndrome du bébé secoué :
• 86% des professionnels pensent, avec raison, que le SBS est une forme de maltraitance.
• Pour 74% le SBS touche surtout les nourrissons de moins de 6 mois, ce qui est vrai.
• 80% répondent correctement en disant que c’est un acte “infligé” au nouveau-né. Par contre, seulement 18% des professionnels répondent correctement en disant que c’est un acte “volontaire”, provoqué par celui qui secoue le nouveau-né.
Origine du SBS : Tous les professionnels répondent que le SBS peut être consécutif à des secousses infligées par un adulte mais 21% répondent incorrectement qu’il peut aussi être consécutif à des secousses infligées par un enfant de moins de 4 ans. 31% pensent à tort que le jeu peut être à l’origine du SBS. Si l’on propose aux professionnels une liste de facteurs de risques du SBS, l’isolement social (89%) ; un antécédent de violence dans le couple, la famille ou l’enfance (62%), les familles monoparentales (61%), les jeunes parents (58%) et le 1er enfant du couple (52%) sont les facteurs les plus cités.
Les facteurs de risques démontrés les moins cités : précarité (24%), les jumeaux (37%) et la prématurité (24%).
À la question “les secouements peuvent-ils entraîner le décès de l’enfant ?”
• 97% répondent, avec raison, oui.
• 26% disent qu’ils ne savent pas.
• 72% répondent de manière correcte en disant oui.
• 93% des professionnels savent et disent que les pleurs sont plus fréquents en fin de journée et le soir, et qu’ils peuvent excéder les parents.
• 70% savent et disent que les pleurs peuvent être inconsolables, même si l’enfant va bien.
• Seulement 21% des professionnels citent le pic des pleurs, qui se situe à environ 2/3 mois de vie (pour décroitre ensuite).
• 19% connaissent la durée “normale” des pleurs sur une journée, en fonction de l’âge du nouveau-né.
• D’une manière générale, 74% des professionnels effectuent une information aux parents sur les pleurs du nourrisson : 27% systématiquement et 47% souvent.
• 14% l’effectuent de manière ciblée et 3% ne l’effectuent jamais.
• Si l’on détaille par profession, l’information sur les pleurs est systématiquement effectuée par 49% des puéricultrices /IDE interrogées, 23% des sages-femmes, 17% des médecins et 16% des auxiliaires de puéricultures et aides-soignantes.
En détaillant par profession, la prévention du SBS est effectuée systématiquement par 49% des puéricultrices/IDE, 17% des médecins, 15% des sages-femmes et 4% des AP/AS.
Les difficultés éprouvées dans la prévention par les professionnels de santé de maternité.
18% des professionnels ont répondu qu’aborder le syndrome du bébé secoué était “très difficile” ou “difficile” et 47% ont répondu “ça dépend des patients”. 35% estimaient de pas avoir de difficultés à aborder ce sujet avec les parents.
Les difficultés citées par les professionnels, pour effectuer cette prévention, sont :
• Le manque de support pour appuyer leur prévention (45%).
• Le manque de temps (29%).
• Le manque de connaissances (24%). La peur de la réaction des parents est aussi un facteur mentionné par 21% des professionnels. La peur de la stigmatisation est très présente.
67% des professionnels disent ne pas utiliser de support pour effectuer cette prévention. Lorsqu’ils utilisent un support, 17% utilisent une plaquette d’information, 13% l’affichage et 12% le carnet de santé.
Parmi les éléments cités par les professionnels (question ouverte) :
• Diffusion de documents d’information (plaquettes intégrant la courbe des pleurs, thermomètre de la colère).
• Actualisation du carnet de santé.
• Réunions d’information organisées en maternité, à destination des parents.
81% des professionnels souhaitent bénéficier d’une formation complémentaire sur les pleurs et le syndrome du bébé secoué pour pouvoir communiquer efficacement et de manière préventive auprès des parents et trouver les bons mots afin de faire passer le message “sans stigmatiser” : “Si l’enfant pleure et que vous n’en pouvez plus, le mieux est de coucher l’enfant sur le dos dans son lit, de quitter la pièce, puis de demander de l’aide”. Il n’est pas dangereux pour un enfant de pleurer dans son lit alors qu’il peut être dangereux d’être dans les bras d’un adulte exaspéré.
Enquêtes réalisées par le Réseau en 2017
- Le lit partagé : audit sur les conseils délivrés aux parents En collaboration avec Ophélie Legeron, étudiante Sage-femme
- Pleurs des premiers mois : état des lieux en néonatologie et en maternité
Résultats : Analyse de l’étude sur les pleurs du nouveau-né
- Questionnaire IVG adressé aux sage-femmes, médecins généralistes et gynécologues médicaux de la région Rapport analyse enquête besoin info IVG
Articles parus
2022 :
Arthuis C, LeGoff J, Olivier M, Coutin AS, Banaskiewicz N, Gillard P, Legendre G, Winer N. The experience of giving birth: a prospective cohort in a French perinatal network. BMC Pregnancy Childbirth. 2022 May 26;22(1):439
2021 :
C. Lesvenan, M. Simoni, M. Olivier, N. Winer , N. Banaszkiewicz , R. Collin , A.-S. Coutin , V. Dochez , C. Flamant , G. Gascoin , P. Gillard , G. Legendre , C.-J. Arthuis. Grossesses prolongées et post-termes : une enquête régionale sur les pratiques cliniques françaises. Gynecol Obstet Fertil Senol. Juillet-août 2021 ;49(7-8):580-586. doi : 10.1016/j.gofs.2021.02.007
2020 :
H. Nourry, J. Garcia, M. Olivier. Dépistage systématique de la surdité du nouveau-né : mesure de la satisfaction des mères dans des maternités des Pays de la Loire en 2015. Périnat 2020 ; 12:124-129. DOI 10.3166/rmp-2020-0091
2019 :
B. Branger and The Breastfeeding Commission of the Pays de la Loire Birth Safety Network (France). Description of 101 cases of nipple cracks and risk factors via case–control study in eight units of a perinatal network. Arch Pediatr 2019 pii: S0929-693X (19) 30192-7.doi: 10.1016/ j.arcped.2019.10.011. [Epub avant l’impression]
2017 :
AS Coutin, M Olivier, R Collin, C Basso-Valentino. Utilisation de l’oxytocine au cours du travail spontané sur grossesse à bas risque. Enquête de pratiques des sages-femmes au sein du réseau de santé périnatale des Pays de La Loire. Rev. Méd. Périnat 2017 ; 9 (2) : 114-123
2016 :
B Branger, P David, AS Coutin, R Collin, Les professionnels des centres d’IVG du réseau de périnatalité des Pays de La Loire. Enquête de satisfaction de 319 femmes ayant eu recours aux centres d’IVG dans les Pays de La Loire. Journal de Gynécologie Obstétrique et Biologie de la Reproduction 2016 ; 45 (8) : 955-62
Enquêtes réalisées par le Réseau <2017
- 2016 : Analyse des pratiques : modalités d’accouchement en cas d’utérus uni cicatriciel et choix de la voie d’accouchement
Résultats globaux Audit Utérus Cicatriciel
Rapport de résultats par maternité Analyse des pratiques : modalités d’accouchement en cas d’utérus uni-cicatriciel réalisé en 2015
Protocole d’étude – utérus uni-cicatriciel 2015
Fiche Accouchement – utérus uni-cicatriciel
Fiche Indicateurs – utérus uni-cicatriciel
- 2016 : Audit sur l’utilisation de l’oxytocine au cours du travail (en dehors du déclenchement et la maturation)
Rapport de résultats par maternité Audit sur l’utilisation de l’oxytocine en PDL réalisé en 2015
Diaporama des JS 2016 sur les Résultats de l’audit oxytocine réalisé en 2015
Protocole d’étude – Audit oxytocine 2015
Fiche Indicateurs – Audit oxytocine
Fiche Accouchement – audit oxytocine
- 2015 : Identification des sources de données utilisées par les maternités pour le recueil des indicateurs d’activité transmis chaque année au RSN
- 2014 : Audit d’indications et de pratiques pour le dépistage du diabète gestationnel
- 2010 : Satisfaction des mères en néonatologie
- 2010 : Enquête sur les crevasses
- 2009 : Audit sur la prévention du Streptocoque B
- 2008 : Audit « Ictère du nouveau-né »
- 2008 : Audit « Soins au nouveau-né normal »
- 2006 : Audit « Hémorragie du post partum »
Tableau de bord « Périnatalité »
Enquête nationale périnatale (ENP) 2016
Etude descriptive rétrospective de cohorte de la mortalité infantile en 2001 puis de 2006 à 2012 en Loire Atlantique et Maine et Loire